Résumé de Réseau Guolin France®
Cet article du Dr Jean-Pierre Willem présente sa vision du cancer du pancréas qu’il décrit comme une maladie grave, silencieuse et souvent diagnostiquée tardivement. Il aborde les causes possibles, les examens médicaux utilisés et les traitements conventionnels. L’auteur y ajoute ses propres interprétations et recommandations alternatives, incluant des changements alimentaires et des compléments. L’ensemble vise à proposer des pistes de compréhension et d’accompagnement selon son point de vue.
Chers amis,
Ce cancer redoutable évolue silencieusement sans signe d’alerte particulier. Il a la capacité d’essaimer rapidement les cellules malignes vers d’autres organes (foie, ganglions…).
Il prend souvent les médecins de court, les empêchant de réaliser un diagnostic précoce. Des métastases peuvent se développer en moins d’un an, alors que pour la plupart des autres cancers elles surviennent tardivement.
Sournois et grave, le cancer du pancréas ne donne que rarement des symptômes précoces et reste donc souvent diagnostiqué tardivement, ce qui explique un taux de mortalité assez élevé. Par ailleurs, son nombre s’amplifie.
En tant que glande abdominale, le pancréas, situé derrière l’estomac, devant et au-dessus des reins, se compose d’une partie « exocrine » produisant des enzymes nécessaires à la digestion, et d’une partie « endocrine » fabriquant diverses hormones, dont l’insuline, ce qui explique la complexité du traitement à adopter.
La plupart des tumeurs cancéreuses du pancréas se développent à partir des canaux d’évacuation du pancréas.
Le diagnostic du cancer du pancréas est presque équivalent à une condamnation à mort. La plupart des personnes qui en sont victimes décèdent en quelques mois et les plus chanceux peuvent espérer vivre encore un an ou deux. 96 % des malades meurent lorsqu’ils subissent la thérapie officielle (chimiothérapie, radiothérapie).
Le recours aux médecines naturelles avec des produits innovants représente un réel espoir.
Causes
Les causes sont multiples. Toutefois, le tabac et la pancréatite chronique seraient les principaux facteurs de risque. Différents facteurs pourraient en fait s’additionner sans qu’aucun ne soit décisif à lui seul.
Certains évoquent le diabète et l’obésité, une alimentation trop grasse et trop sucrée est effectivement à l’origine de nombreux dérèglements pancréatiques. Trop de sucre force le pancréas à produire de l’insuline pour réguler une hyperglycémie dans le sang, tandis que l’excès de viandes grasses produit plus d’enzymes pancréatiques pour digérer les graisses.
Ainsi, l’excès de sucre, mais surtout de fructose (que l’on retrouve dans les aliments industriels à base de sirop de fructose ou de glucose), peut favoriser le risque de cancer du pancréas. Les fruits ne sont pas concernés et peuvent être consommés, mais sans excès.
Le tabac, le facteur cancérigène par excellence, se retrouve aussi dans les habitudes des personnes atteintes du cancer du pancréas.
D’autres pistes spécifiques sont évoquées :
C’est parce qu’il s’agit d’une intolérance à IgG (immunoglobulines G), et donc insidieuse, qu’elle n’attire pas l’attention.
Les lymphomes T de haut grade du grêle (très agressifs et à croissance rapide), les carcinomes du grêle, les cancers du pancréas, de l’oropharynx (bas du pharynx) et de l’œsophage représentent le terme habituel de l’évolution de l’intolérance au gluten vers l’âge de 50 à 60 ans ! N’est-ce pas trop cher payé pour une simple intolérance alimentaire ?
Signes cliniques
Lorsque le cancer est déjà développé, les signes les plus manifestes sont :
Selon la localisation exacte du cancer (tête, corps ou queue du pancréas, cellules des îlots de Langherans), d’autres symptômes apparaissent, tels que des vomissements, un blocage du transit intestinal, des diarrhées chroniques, du diabète, de l’hypoglycémie, des ulcères digestifs ou encore une inflammation des voies biliaires (angiocholite).
Les différents types de cancer
Dans la grande majorité des cas (environ 95 %), les cancers du pancréas touchent la partie exocrine. On parle alors d’adénocarcinome pancréatique. Dans environ 5 % des cas, le cancer atteint la partie endocrine de la glande : on parle alors de tumeur neuroendocrine ou de carcinome endocrine du pancréas. Une infime minorité de cancers se développent sur le tissu conjonctif de l’organe.
Il existe également plusieurs types de tumeurs bénignes du pancréas, telles que la pancréatite (diagnostiquée par des analyses de l’amylase, de la trypsine et de la lipase), les calculs biliaires obstructifs, les séquelles liées à l’alcoolisme, ainsi que l’angiocholite.
Fréquence
Le nombre de nouveaux cas est de plus de 12.000 par an en France (soit 6 % de l’ensemble des cancers). L’âge de survenue se situe entre 55 et 70 ans, avec une légère prédominance masculine. Cette fréquence a triplé en 20 ans, due en partie aux phytosanitaires (glyphosate), aux polluants, aux additifs alimentaires, aux nanoparticules, aux métaux lourds, etc.
Examens
Le scanner et l’échographie de l’abdomen permettent de visualiser le pancréas. Deux examens plus spécialisés sont également utilisés : l’écho-endoscopie qui utilise un tube introduit dans l’intestin permettant l’envoi d’ultrasons, et la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) qui consiste à introduire un tube jusqu’au niveau de l’abouchement des canaux du pancréas et des canaux biliaires dans l’intestin, puis à injecter un produit opaque, permettant de voir ces derniers sur les clichés radiologiques.
Le bilan hépatique sanguin est perturbé (transaminases et Gamma GT augmentés).
Plusieurs marqueurs tumoraux présents dans le sang sont analysés (antigène carbohydrate 19-9, chromogranine A), mais ils ne servent qu’à affiner le diagnostic, sans certitude de l’existence d’un cancer.
Le bilan inclut aussi d’autres tests, notamment du taux d’amylase, de lipase, de trypsine, et la glycémie.
La vitamine B12 et les folates, la NFS, la créatinine (reins), hématurie, protéinurie.
Le bilan sanguin se complète nécessairement d’un dépistage par imagerie médicale, c’est-à-dire avec une échographie abdominale ou un scanner abdominal avec injection d’un produit de contraste. Le praticien peut alors visualiser la tumeur pancréatique et réaliser le bilan d’extension locorégionale (vasculaire, ganglionnaire, rétropéritonéal).
En cas d’extension à d’autres organes (foie, poumons, cerveau), des examens spécifiques sont nécessaires. L’analyse d’un extrait de pancréas (biopsie), prélevé par écho-endoscopie, permet de caractériser, si nécessaire, le type de cellules cancéreuses (accessibilité à l’immunothérapie). Ces analyses de diagnostic ont aussi pour but de définir la meilleure stratégie thérapeutique.
TRAITEMENT OFFICIEL
Le cancer du pancréas est difficile à soigner et son pronostic est sombre : le taux de survie est inférieur à 5 % pour l’ensemble des malades et de cinq ans après le diagnostic chez de rares patients, et de 10 à 30 % chez ceux dont la tumeur était opérable lors du diagnostic.
La chirurgie est le traitement de première intention, mais l’ablation du pancréas suppose certaines conditions qui dépendent de l’état général du patient et de la localisation du cancer (non métastasé) et de son éloignement des gros vaisseaux sanguins (notamment de la veine porte, située dans l’abdomen).
La radiothérapie et la chimiothérapie sont indiquées pour les cancers inopérables ou en complément de certaines exérèses (ablation), pour limiter le risque (élevé) de récidive. Chez de rares malades, une chimiothérapie peut réduire la tumeur diagnostiquée au départ et rendre envisageable une intervention chirurgicale (5 jours après l’opération, prendre PHOSPHORUS 9CH, BRYONIA 5CH, CHELIDONIUM 4CH en alternance, 3 granules 3 fois par jour).
Rappelons que les produits chimiques sont iatrogènes et accélèrent l’issue fatale.
Utilisée seule, uniquement dans le traitement du cancer du pancréas, la gemcitabine (Gemzar®) est perfusée une fois par semaine, trois semaines sur quatre.
Le Gemcitabine provoque une chute des globules blancs et rouges, des plaquettes, une toxicité hépatique, cardiaque et pulmonaire, des troubles digestifs et fatigue.
Pour l’anémie : MEDULOSS D8, CHINA 9CH (3 granules 3 fois par jour), FERRUM MURIATICUM 7CH (3 granules 2 fois par jours).
Pour la baisse des plaquettes : MEDULOSS, CROTALUS 7CH et BOTHROPS 9CH (3 granules 2 fois par jour).
Protocole
Traitement de support après la prise de la Gemcitabine :
TRAITEMENT NATUREL
Rappelons que le cancer se « nourrit » de sucre (glucides), c’est ainsi qu’il faut mettre le terrain en acidose, par une réduction alimentaire.
Par ailleurs, le cancer se développe en anaérobiose (absence d’oxygène), c’est ainsi qu’on recourt au bol d’air de Jacquier (Labo Holiste), 3 à 4 séances de 3 minutes.
Alimentation
Certains aliments se révèlent particulièrement agressifs pour le pancréas. Il en va ainsi de la bière, des alcools forts et des viandes grasses trop cuites, brûlées en périphérie et qui dégagent des substances carcinogènes (benzopyrènes, nitrosamines).
Il conviendra alors de limiter le tabac, l’alcool, les graisses (graisses animales : viande, produits laitiers), le sucre, les « additifs» et donc les aliments industriels qui en contiennent, ainsi que tous les produits considérés comme « polluants » pour l’organisme (viandes trop cuites ou brûlées).
A l’inverse, il faudra privilégier les fruits et les légumes, qui sont une source naturelle de vitamines antioxydantes (vitamines A, C, E, et provitamine A) et de fibres. Le thé vert Matcha est également un bon antioxydant.
Il est donc conseillé de :
Protocole
4 antitumoraux naturels pour attaquer la tumeur :
1) Au labo Phyt-Inov
Durant 2 mois puis :
Durant 2 mois.
Compléments nutritionnels
Pour commencer, on préconise un ensemble destiné à restaurer le terrain :
Après 4 mois, procédez aux analyses suivantes :
2) Au Labo Copmed
À renouveler. Devant le nombre de produits à prendre, il est possible d’alterner les compléments alimentaires.
3) Au labo CRP Phyto
4) Au labo BIONOPS
CONSEILS
Voir dans mon livre « Le secret des peuples sans cancer » qui contient le traitement de 55 cancers différents.
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
Je ferai une conférence au salon Bien-être Médecine douce à la Porte de Versailles, le dimanche premier février à 16 h 40 sur les cancers, la radiothérapie et la chimiothérapie. Je dédicacerai mon livre « 55 questions de santé et leur traitement naturel ». Ed. Dauphin. A acheter.
Dans ce livre je traite 3 cancers : (colorectal, pancréas et sein), la sclérose latérale amyotrophique SLA, les maladies auto-immunes, la fibromyalgie, les maladies d’encrassage.